Si, tout comme moi, vous intervenez en droit immobilier, vous connaissez ces situations :
- Je suis l’avocat d’un syndicat de copropriétaires :
Il existe des tensions entre un ou plusieurs membre(s) du conseil syndical et le syndic et je me sens comme un enfant de parents divorcés, je ne sais plus comment communiquer avec eux. 🤯
Le président du conseil syndical pense mieux savoir que moi ce qu’il convient de faire dans le dossier et moi, acte manqué, j’oublie de le mettre en copie des mails que j’envoie au syndic, il se vexe, ça alimente sa paranoïa, ce qui le rend encore plus difficile à gérer.
- Je défends un particulier dans un litige de construction :
La procédure dure des années, mon client s’épuise moralement et financièrement, l’enthousiasme qui a présidé au début de notre collaboration s’est mué en méfiance à mon endroit et envers le système judiciaire.
L’expertise judiciaire est émaillée de notes aux parties, de dires, de pièces, je les transmets au fur et à mesure à mon client mais il comprend à peine de quoi ça parle et se noie dans les explications des parties adverses, dont la mauvaise foi est … ce qu’elle est.
- J’interviens pour un acquéreur en VEFA qui attend la livraison de son bien depuis 3 ans (si, si, ça arrive)
Il va y avoir des mises, du référé, de l’expertise, du fond, du sang; des larmes et du jargon procédural car la partie adverse a bien l’intention de faire traîner le processus judiciaire autant qu’il a laissé traîner les travaux de construction de l’immeuble…
Dans chacune de ces situations, je vais devoir expliquer, réexpliquer, les procédures, les incidents de procédure, le déroulé du référé, de l’expertise, de la mise en état. C’est tout à fait normal, les justiciables méritent de comprendre ce que devient “leur” affaire lorsqu’elle devient judiciaire.
Et, comme ils sont dans une situation de stress – bien légitime – ils ont du mal à comprendre les finasseries procédurales, à accepter les délais, à encaisser le jargon. Ils oublient ce que j’ai expliqué la semaine précédente, reposent les mêmes questions.
Lorsque je leur demande des pièces, ils m’envoient des photos ou des documents scannés page à page, dispersés en autant de mails, façon puzzle.
Répondre à toutes ces problématiques fait bien sûr partie de mon job MAIS :
- c’est répétitif et donc pas très passionnant,
- c’est chronophage mais difficile à valoriser,
- et il y a un côté Sisyphe qui conduit au découragement.
Mais ça, c’était avant 💡 Maintenant, il y a AppliCab !
Et, dans AppliCab,
- Il y a des messages-types que je peux modifier, ce qui m’évite de me faire des noeuds au cerveau quand les relations avec les clients sont “compliquées”.
- Je peux associer plusieurs clients à un dossier : ils ont donc tous le même niveau d’information, ce qui ménage les susceptibilités.
- Il y a des to-do list déjà prêtes pour une vingtaine de procédures, ce qui permet au client de suivre son affaire, étape par étape.
- A chaque étape, son message-type pour expliquer où on en est, ce qui va suivre.
- Il n’y a que du langage juridique clair, parce que nos clients méritent de recevoir une information scientifiquement juste, dense et compréhensible.
- Les documents transmis aux clients le sont étape par étape, comme ça le justiciable s’y retrouve facilement dans tout ce que son avocat lui transmet.
- Il y a un espace client où l’on retrouve TOUT au même endroit : la liste des étapes, les messages, les documents et même une FAQ, Comme ça, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, le client peut visualiser l’état d’avancement de son dossier, lire, relire les échanges avec son avocat, consulter, envoyer des pièces.
- Car il y a aussi une fonction dédiée à l’envoi de pièces par le client et possibilité de transformer/combiner les pièces reçues en PDF, histoire de garder son calme. 🧘