On devient avocat par vocation ou par hasard, on le reste parce que ce métier est intellectuellement stimulant, parce qu’on aime accompagner nos clients dans leurs projets ou leurs galères, parce qu’on apprécie les challenges de l’entrepreunariat. Notre métier, nous l’aimons, mais…
On a parfois envie de tout plaquer, envie de déchirer sa robe, de se reconvertir en bergère ou en prof de surf, d’échapper au stress, à la fatigue, aux inquiétudes qui envahissent le quotidien. Chez AppliCab, nous pensons que les avocats peuvent exercer dans de meilleures conditions en limitant, voire en supprimant, les maux du quotidien.
Comme ça fait des années qu’on échange avec des avocats, on a très facilement identifié au moins 10 sujets dont les avocats se passeraient bien. Et, pour chacun d’eux, on vous propose des remèdes.
1. La surcharge de travail
Quand on est submergé par les dossiers, il est difficile de se figurer ce que serait le portefeuille de dossiers idéal : combien d’affaires en cours, combien de nouveaux dossiers peut-on absorber par mois, par an, etc. Autrement dit, combien un avocat peut-il traiter de dossiers simultanément ?
La réponse est évidemment variable selon la nature des affaires traitées mais, pour travailler dans de bonnes conditions, il faudrait ne remplir son agenda qu’à hauteur de 70%. Avoir 30% de marge de manœuvre dans son planning, pour traiter une urgence, pour approfondir un sujet si nécessaire, faire de vraies pauses, recharger ses batteries pour ne pas finir chaque semaine en état d’épuisement physique et mental.
2. La charge mentale
Les avocats ne sont évidemment pas les seuls professionnels à crouler sous la charge mentale. Ce qui pèse dans le “disque dur” des avocats, c’est le nombre des tâches à accomplir, l’exigence de ne rien oublier pour ne pas grever la validité d’une opération, l’impératif de respecter les délais (prescription, péremption, clôture, etc.).
Sur ce point précis, AppliCab apporte des réponses simples et efficaces :
- des to-do lists pré-établies adaptées aux dossiers à traiter;
- des rappels à programmer.
Et, parce qu’on sait qu’un rappel ça peut être stressant, on a glissé des memes dans les messages de rappel ☺️
3. Les relations avocat – clients
Les clients ont besoin des avocats, les avocats ont besoin des clients. Les avocats travaillent bien et beaucoup, pourtant les clients ont le sentiment que leur avocat ne fait pas grand-chose, n’est jamais disponible, sauf quand il s’agit de facturer des honoraires somptuaires. Interdépendance et malentendus, le duo gagnant de la relation avocat-client.
Comment en sortir ? Avec de la pédagogie et un bon outil. Et le bon outil ici, c’est AppliCab Avocats et son espace client unique en son genre. AppliCab est en effet le seul outil qui permet au client de l’avocat de suivre son dossier en ligne, d’en visualiser l’état d’avancement, d’échanger facilement avec son avocat des pièces et messages, dans un espace sécurisé, dédié à son dossier. Un véritable “espace client” déjà plébiscité par plus de 2.000 clients.
4. Le déséquilibre vie perso / vie pro
La vie professionnelle d’un avocat est si dense qu’elle laisse peu de place à la vie personnelle. Combien d’avocats trouvent qu’ils ont assez de temps pour pratiquer un sport, apprendre à jouer d’un instrument de musique, passer du temps de qualité avec leur famille, ne serait-ce que pour se nourrir convenablement, dormir suffisamment ? Peu. Ce métier dévore si on n’y prend pas garde. Et, même si on arrive à ne travailler ni le soir, ni le week-end, ni pendant les vacances, les préoccupations professionnelles restent toujours présentes en arrière-plan.
Quelle solution ? Faire de ce sujet une priorité. Une carrière d’avocat, ça dure 40 ans au moins. Mieux vaut donc penser son exercice professionnel sur le long terme et se considérer comme une force de travail extrêmement précieuse qu’il faut entretenir avec soin, pour être un avocat productif ET heureux.
5. L’équilibrisme financier
L’argent est aussi un facteur de stress pour les avocats : combien facturer ? Comment se faire payer ? Comment faire face à toutes les charges du cabinet ? Comment ne pas faire de sa rémunération une variable d’ajustement ? Le tout sans formation en gestion, en finance, ni appétence particulière pour le sujet.
La parade ? Se former sur le sujet de l’argent 💼💰, pour faire évoluer ses pratiques. Trouver sa rentabilité, repenser sa facturation, examiner les coûts de fonctionnement de son cabinet à la loupe. Le blog d’AppliCab regorge de ressources sur ce thème, servez-vous !
6. La gestion administrative et comptable
Parmi les 10 plaies du Barreau, on trouve l’administratif : même délégué, cela demeure un fardeau : suivre les encaissements, envoyer des facturettes à son expert-comptable, notifier des actes par le RPVA, accomplir des formalités via le Guichet Unique, etc.
Pour alléger ces tâches, les process et les modèles sont sans doute les méthodes les plus adaptées. Systématiser la manière dont on accomplit telle ou telle tâche, créer des modèles de messages pour les envois récurrents permet de gagner du temps et de l’énergie, que l’on emploiera à d’autres activités, plus intéressantes et rémunératrices.
Dans AppliCab a déjà fait ce travail pour vous, on a modélisé les process et les procédures dont vous avez besoin, étape par étape et, à chaque étape, on a rédigé des messages-types pour informer vos clients, vite fait, bien fait. Et pour être réellement efficace, on n’a utilisé que du langage juridique clair, histoire que les clients comprennent tout et ne décrochent pas leur téléphone pour solliciter la traduction du message qu’ils viennent de recevoir…
7. Les délais de procédure et l’aléa judiciaire
Nombre de juridictions sont saturées, les affaires se plaident fort fort longtemps après avoir été initiées et les justiciables attendent, attendent, anxieux, incrédules, mécontents. Et qui sont les récipiendaires de leur incompréhension exprimée avec pour ou moins de courtoisie ? Qui est là pour expliquer que “non, on peut pas avoir de date plus proche”, “non, il n’y a pas de moyen d’accélérer” en pensant “sinon je l’aurais déjà fait..”.
L’avocat et son client vont donc attendre des mois, voire des années pour obtenir une décision de justice, décision dont on ne sait si elle sera bonne ou mauvaise, ni même si on pourra réellement l’exécuter. La tension qui en découle peut toutefois être atténuée si le justiciable a une vision claire des étapes de la procédure judiciaire, s’il a le sentiment que son avocat a bien suivi son dossier. Ce qui signifie, pour le client, qu’il a été informé de tout le travail accompli par son conseil. La communication avocat-client joue ici un rôle fondamental. Mais ça prend du temps et les avocats en manquent de manière chronique.
AppliCab, avec ses procédures modélisées étape par étape, ses messages type et son espace client répond parfaitement aux besoins d’information des clients et au besoin d’efficacité des avocats. Un client qui a “bien vécu” le déroulé de son procès en se sentant soutenu par son avocat, acceptera mieux une décision défavorable, n’imputera pas ce résultat à son conseil dont il a pu mesurer pleinement l’engagement.
8. L’isolement professionnel
On ne s’ouvre que rarement à ses pairs de ses préoccupations professionnelles. On en parle à ses proches, jusqu’à ce qu’ils saturent, à un coach si on a la bonne idée de se faire accompagner. Mais sinon, on est seul face à nos problématiques, avec le sentiment d’être seul à avoir des questions, des doutes, des problèmes et de n’être pas capable de trouver des solutions,
C’est faux, archi-faux. Pour s’en convaincre, il suffit d’échanger avec d’autres professionnels, d’autres libéraux et d’autres indépendants. On découvre alors des problématiques communes : fixer des tarifs attractifs tout en étant u cabinet d’avocat rentable et en le restant, concilier vie perso et vie pro, gérer les relations tendues avec ses confrères, ses clients, etc.
Les réseaux d’affaires, interprofessionnels, ou les associations et syndicats d’avocats sont les lieux idéaux pour rompre l’isolement professionnel, réfléchir aux enjeux entrepreneuriaux, partager galères et bonnes pratiques.
9. La concurrence
Le droit est désormais un marché et les avocats n’en sont plus les seuls acteurs. Mais ils sont les meilleurs. Combien de fiscalistes ont été mandatés pour prendre la suite d’un expert-comptable qui avait mal déclaré une opération, mal géré un contrôle fiscal ? Combien d’avocats ont défendu aux Prud’hommes un employeur qui avait utilisé des modèles de contrat de travail distribués gratuitement sur Internet ?
Les avocats ont un savoir-faire unique, ils ne seront pas remplacés par d’autres professions ou des IA, mais ils doivent se penser dans un écosystème et tisser un réseau interprofessionnel, s’approprier les outils d’IA pour s’en faire des alliés.
10. Le recrutement et le management
Difficile de constituer une équipe, de fidéliser ses collaborateurs. Pas simple non plus d’expliquer ce que l’on sait faire “les yeux fermés”, de déléguer sans fliquer. Devenir un bon recruteur, un bon manager ne s’improvise pas et ne s’apprend pas à la fac de droit. Il faut donc se faire accompagner, un bon “chasseur de tête” d’avocats est un atout précieux pour un cabinet qui veut grandir. Un coach ou des formations en management sont aussi indispensables pour réussir l’intégration des nouveaux collaborateurs, apprendre à diriger son équipe sans la priver de toute autonomie, accepter de ne plus être le seul interlocuteur de ses clients, superviser sans stresser.
Une partie des réponses vient, ici encore, des bonnes pratiques, des bons outils de partage du savoir-faire et de l’information, pour u travail en équipe qualitatif et serein.